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Dakar 2017 : 3 histoires de piste!

Bien que l'édition 2017 du Rallye de Dakar vienne de se terminer, les pilotes Christian Lavieille et Cristina Gutierrez - tous deux sur les pneus BFGoodrichMD lors de la course - nous racontent quelques-unes des aventures de cette année.

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Christian Lavieille (classe T2 - véhicules de série)

#visageimpassible

Un de mes souvenirs les plus forts s'est passé le troisième jour. En quittant San Miguel de Tucuman, nous avons réalisé que la route du jour serait particulièrement compliquée en raison du sable et de la texture de la surface du sol. À ce moment-là, nous avions une avance de 15 minutes. Comme les véhicules de classe T2 sont moins puissants et plus lourds, la technique de conduite habituelle consiste à réduire la pression des pneus pour un meilleur support de la charge. C'est ce que nos adversaires ont fait. Malgré ce que vous pourriez croire, nous avons décidé de conduire avec une pression des pneus élevée. Ça a été une journée intense, et je ne referais probablement pas ça, mais notre audace a payé... en nous donnant une avance d'une heure sur les autres!

Cristina Gutierrez (Classe T1 - véhicules 4X4 cross-country)

#J'aimemesfans

Les fans sont incroyables; ils arrivent toujours à nous surprendre quand on ne s'y attend pas. À la ligne d'arrivée de la 5e étape, j'ai rencontré un groupe qui avait suivi mes avancées depuis le début. Quand je me suis approchée d'eux, une jeune fille a commencé à pleurer parce qu'elle était tellement heureuse de me voir. Ça m'a fait me sentir si chanceuse et si heureuse aussi. Nous avons pris quelques photos ensemble, j'ai signé leurs casquettes et, depuis, nous avons gardé contact sur Twitter. C'est incroyable!

#ennuismécaniques

C'est l'une des pires choses qui me soient arrivées pendant le rallye. Pendant la course, 10 km après le début de l'étape spéciale, mon embrayage s'est brisé. Je n'avais pas d'autre choix que de continuer à conduire sans lui pendant 10 heures, même si l'itinéraire nous a menés sur de nombreuses dunes de sable. Quand on y pense aujourd'hui, nous avons fait un travail incroyable et nous devons beaucoup à la qualité de traction de nos pneus, qui nous a empêchés d'être enterrés dans le sable.
 

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